mardi 29 mai 2012

Un peu comme des chats qui dirigent un peuple de souris.

A l'écoute des horreurs économiques qui prolifèrent ces jours-ci en Europe, au Québec, aux USA, etc., je me dis de plus en plus que nous sommes dirigés par des monstres, des voleurs, des cupides, des menteurs, des insensés, des arrogants, des prétentieux, des incompétents, des hautains, des méprisants, des profiteurs, des cruels, des barbares, des égoistes, des pervers, des violents, des sans-pitiés, des assoiffés de pouvoir, de gloire, d'honneur et d'argent. Nous seulement dans les partis, nous seulement dans les gouvernements, mais aussi dans les instances locales et internationales, chacun en proportion de sa sphère d'influence. Ils exploiteront les peuples jusqu'au dernier grains de riz, les écrasants, les affamants, leur volants tout ce qu'ils pourront pour rembourser des emprunts frauduleux ou pour mettre des couches et des couches de dorures supplémentaires sur leur ville, leur région, leur pays, leur club de foot, leur entreprise, leur banque, tout en culpabilisant les pauvres de ne pas payer assez d'impôts ou de ne pas travailler assez, ou de ne pas se sacrifier assez. Se sacrifier pour construire les marches de leurs podiums en or massif ou pour rembourser des prêts aux taux ahurissants maquillés par la tromperie machiavélique. Mais, le pire, c'est qu'ils le feront en nous faisant croire qu'ils cherchent le bien, la justice, l'équité, qu'ils disent la vérité, qu'ils sont honnêtes et travail sérieusement au bien du plus grand nombre. Et le pire du pire, c'est que beaucoup les croiront. Jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien.
De l'argent, ils n'en n'auront jamais assez : 

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