mercredi 30 mai 2012

Comment les banques volent les contribuables.


Extraordinaire !

Comment les banques volent les collectivités, les villes, les régions, les états, et donc les contribuables qui payent les impôts. On signe un contrat à 3,59% et finalement on doit rembourser 23, 49% d'intérêts !

C'est ainsi qu'on se retrouve avec une crise de la dette qu'aucun peuple ne pourra rembourser. Il faut une annulation de toutes les dettes, où on sombrera dans le chaos et la répression policière violente.

Reste peu de temps.


mardi 29 mai 2012

Un peu comme des chats qui dirigent un peuple de souris.

A l'écoute des horreurs économiques qui prolifèrent ces jours-ci en Europe, au Québec, aux USA, etc., je me dis de plus en plus que nous sommes dirigés par des monstres, des voleurs, des cupides, des menteurs, des insensés, des arrogants, des prétentieux, des incompétents, des hautains, des méprisants, des profiteurs, des cruels, des barbares, des égoistes, des pervers, des violents, des sans-pitiés, des assoiffés de pouvoir, de gloire, d'honneur et d'argent. Nous seulement dans les partis, nous seulement dans les gouvernements, mais aussi dans les instances locales et internationales, chacun en proportion de sa sphère d'influence. Ils exploiteront les peuples jusqu'au dernier grains de riz, les écrasants, les affamants, leur volants tout ce qu'ils pourront pour rembourser des emprunts frauduleux ou pour mettre des couches et des couches de dorures supplémentaires sur leur ville, leur région, leur pays, leur club de foot, leur entreprise, leur banque, tout en culpabilisant les pauvres de ne pas payer assez d'impôts ou de ne pas travailler assez, ou de ne pas se sacrifier assez. Se sacrifier pour construire les marches de leurs podiums en or massif ou pour rembourser des prêts aux taux ahurissants maquillés par la tromperie machiavélique. Mais, le pire, c'est qu'ils le feront en nous faisant croire qu'ils cherchent le bien, la justice, l'équité, qu'ils disent la vérité, qu'ils sont honnêtes et travail sérieusement au bien du plus grand nombre. Et le pire du pire, c'est que beaucoup les croiront. Jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien.
De l'argent, ils n'en n'auront jamais assez : 

dimanche 20 mai 2012

Une nation ?

J'aurais bien aimé qu'on me dise aujourd'hui : "En cas de conflit, défendre sa nation, c'est un devoir de citoyen." ça m'aurait permis de répondre et d'exprimer une ou deux idées, peut-être simples et évidentes, mais peut-être bonne à rappeler. 

On peut vouloir éviter d'aller en guerre par peur de mourir, et ça se comprend bien si on aime la vie plus que les idéaux, surtout les idéaux que d'autres ont choisis pour vous. Mais, on peut aussi se demander d'où vient cette notion de nation. Qui a décidé que cette notion avait de la valeur ? Qui a décidé le puzzle ? Qui a distribué les dossards pour bien identifier les troupeaux ? Bien sûr, cela remonte à loin et ceux qui ont pris les décisions ne sont plus là depuis longtemps. Mais, le plateau du jeu est posé sur la table, les pions posés sur le plateau, il va bien falloir jouer. 

On veut nous faire peser de fausses responsabilités comme celles des conséquences ne pas avoir voté pour l'un des candidats que d'autres ont choisis. Manipulation, intimidation, culpabilisation.

Dans bien des domaines, comme par exemple la crise économique actuelle et ce qu'elle va engendrer d'horrible et de destructeur, si nous n'avons pas décidés des règles du jeu, on peut encore décider de ne pas y participer. 

Je n'ai pas choisis d'être français, je n'en suis ni déçu ni fier. Je n'ai pas choisis de devoir vivre sous un gouvernement. Je n'ai pas choisis les règles du jeu économico-politique actuelle avec son lot de mensonges, d'aveuglements, d'exploitations et de manipulations. Je n'ai pas choisis d'y mettre de l'huile au lieu d'éteindre les feux. Mais, un jour, là au milieu, je pourrais peut-être faire un choix. Celui-là sera le mien et j'en aurais la responsabilité.

vendredi 18 mai 2012

Mentir pour les uns, ne pas réfléchir pour les autres : le fondement de notre société ?

Tout semble fonctionner sur un principe : ne pas réfléchir. 
En politique : ne réfléchissez pas à ce qu'on vous dit ni à ce qu'on vous propose.
Dans les médias : ne réfléchissez-pas, on le fait pour vous.
A l'école : ne réfléchissez pas, croyez ce qu'on vous dit.
En commerce : ne réfléchissez pas à ce qu'on vous vend, comment on vous le vend, pourquoi on vous le vend :